photo of coconut tree near seashore

La pollution plastique, un fléau persistant pour l’environnement​

Le FDD Andurand s’engage au niveau des fleuves afin de faire face à la pollution plastique le plus efficacement possible. 
Ses actions se déclinent sous différentes facettes : 

 

  • La collecte de données scientifiques afin d’avoir une meilleure vision d’ensemble de la pollution plastique en France et de découvrir l’origine des déchets présents dans les fleuves afin d’être en capacité d’interpeller les principaux responsables de cette pollution.

 

  • Des actions de dépollution manuelle afin de réduire directement la pollution plastique déjà présente dans les fleuves 

 

  • La catégorisation des déchets  pour identifier leurs origines
     
  • L’aide à la recherche et à la réflexion sur les meilleures manières de revaloriser ces déchets et d’en réduire la production initiale. 
La jeunesse et l’éducation étant au centre de ses préoccupations, le FDD Andurand a à cœur d’impliquer la jeunesse à ces actions afin de leur faire découvrir ces enjeux majeurs de l’environnement. Mettre la jeunesse au premier plan des solutions à apporter pour améliorer notre futur nous semble plus qu’indispensable aujourd’hui.

Quelques chiffres sur la pollution plastique dans le monde

  • Chaque individu avale 2000 particules de plastiques par semaine, l’équivalent de 5 grammes, le poids d’une carte de crédit. 
  • Les perturbateurs endocriniens y étant contenus sont suspectés de provoquer des cancers, du diabète, des troubles de la reproduction et seraient, selon l’OMS, responsables de 13 millions de décès par an.
  • 8 m de tonnes de plastique polluent les écosystèmes marins chaque année selon la Fondation Ellen MacArthur. Certains scientifiques prévoient que, d’ici 2050, la quantité de plastiques dans les océans dépassera celle des poissons. 
  • 80 % de la pollution des océans provient de la terre. Les cours d’eau, les estuaires et les sols sont les principaux vecteurs utilisés par les déchets pour se déverser en mer. 
  • Aujourd’hui, le point d’action le plus efficace pour éviter cette pollution semble être en amont des océans, c’est-à-dire au niveau des fleuves et des rivières